Exposition de lithographies originales de Jean Cocteau du 12 novembre au 06 décembre 2025.
En partenariat avec le Musée d'Art Moderne et Contemporain "Yves Brayer", la Maison des Surréalistes de Cordes-sur-Ciel et la Maison de la Poésie du Pays de Quimperlé.
Vernissage le 14 novembre à 18 h suivi à 19 h d'une conférence de Paul Sanda autour d'Olivier Larronde et sa « Constellation des veilleurs » : Jean Cocteau, Oscar Milosz, Pierre Loti, Saint-Pol-Roux...
Olivier Larronde (1927-1965), poète fulgurant mort à 38 ans, fut aimé immédiatement par de grands ordonnateurs, tels Jean Genet, André Pieyre de Mandiargues et Jean Cocteau. Sans doute influencé par les fréquentations élevées de son père Carlos Larronde (1888-1940), s'imprégna-t-il surabondamment de la pensée d'une autre époque, d'un strict symbolisme, avec la proximité mythique et quasiment tutorielle de la figure de Saint-Pol-Roux ?.
Poète ignoré du grand public, Olivier Larronde préféra toujours Jean Cocteau à beaucoup d'auteurs de son époque, car lui, au moins, n'enviait personne et encaissait en silence la critique sur certains de ses textes. Larronde, jamais dupe, attendri, s'amusait inlassablement des conclusions précipitées de Cocteau. Il admirait son grand « Plain-Chant » (1923). Il souriait, indulgent, à la pulsion irrésistible qu'il y avait chez Cocteau de s'approprier tout ce qui, à l'évidence, « valait le coup ». Il prit toujours sa défense. Olivier Larronde fut, par ailleurs, très proche de Giacometti...
En partenariat avec le Musée d'Art Moderne et Contemporain "Yves Brayer", la Maison des Surréalistes de Cordes-sur-Ciel et la Maison de la Poésie du Pays de Quimperlé.
Vernissage le 14 novembre à 18 h suivi à 19 h d'une conférence de Paul Sanda autour d'Olivier Larronde et sa « Constellation des veilleurs » : Jean Cocteau, Oscar Milosz, Pierre Loti, Saint-Pol-Roux...
Olivier Larronde (1927-1965), poète fulgurant mort à 38 ans, fut aimé immédiatement par de grands ordonnateurs, tels Jean Genet, André Pieyre de Mandiargues et Jean Cocteau. Sans doute influencé par les fréquentations élevées de son père Carlos Larronde (1888-1940), s'imprégna-t-il surabondamment de la pensée d'une autre époque, d'un strict symbolisme, avec la proximité mythique et quasiment tutorielle de la figure de Saint-Pol-Roux ?.
Poète ignoré du grand public, Olivier Larronde préféra toujours Jean Cocteau à beaucoup d'auteurs de son époque, car lui, au moins, n'enviait personne et encaissait en silence la critique sur certains de ses textes. Larronde, jamais dupe, attendri, s'amusait inlassablement des conclusions précipitées de Cocteau. Il admirait son grand « Plain-Chant » (1923). Il souriait, indulgent, à la pulsion irrésistible qu'il y avait chez Cocteau de s'approprier tout ce qui, à l'évidence, « valait le coup ». Il prit toujours sa défense. Olivier Larronde fut, par ailleurs, très proche de Giacometti...
